Conçu comme un acte d’insoumission, ce travail thématique sur “la marche grise”, propose un temps d’arrêt. Il s’agit de sortir de l’esthétisme politiquement correct. Nous pouvons ici prendre le temps de regarder le gris, la rouille, comme autant de traces de notre histoire, de nos passages. Et si le soleil s’attarde sur les marches, alors les gris se colorent et se font paysages.